Les vendeurs de Gbp/Usd doivent franchir 1,2610, selon Scotiabank
Les analystes de la Banque Scotia ont publié leurs récentes prévisions pour la paire GBP/USD, qui soulignent l’importance du niveau de support de 1,2610. Selon la Banque Scotia, les vendeurs doivent briser le niveau de 1,2610 car cela ouvrirait la porte à une plus grande faiblesse à court terme.
Pour l’instant, la dynamique de la paire GBP/USD est toujours haussière & et la paire peut être vue au-dessus de la zone de support critique. Malgré ces signes prometteurs, la paire livre/dollar fait toujours face à des risques de baisse importants.
En outre, le graphique intrajournalier présente plusieurs schémas qui suggèrent que la vente de la livre sterling est imminente. A court terme & et même à long terme, l’indicateur DMI souligne que la dynamique baissière restera limitée.
Cependant, nous ne pouvons pas ignorer les lectures du graphique intraday, car il montre toujours qu’un test du support de 1,2610 est très probable. Si la paire GBP/USD réussit à rebondir à partir de ce niveau, cela signifierait une reprise de la tendance haussière.
Bien que nous nous concentrions sur les indicateurs techniques et les tendances des prix sur le graphique, ce serait une mauvaise stratégie d’ignorer les fondamentaux de la paire GBP/USD. De la lecture de l’IPC aux perspectives de réduction des taux par la BoE et la Fed, beaucoup de choses peuvent faire basculer la tendance de la paire GBP/USD.
La prochaine réunion de la Banque d’Angleterre aura lieu en février, tandis que celle de la Fed se tiendra en mars. Ainsi, dans un sens, seul le mois de janvier offrira un calme relatif aux traders, tandis que les prochains mois seront volatils.
Un examen plus approfondi des prévisions de la Banque Scotia concernant la livre sterling montre que la paire perdra plus de 100 pips, à peu de chose près, à court terme. Alors que nous examinons cette prévision, l’IPC américain est également attendu, ce qui pourrait la rendre complètement erronée. De plus, un IPC faible fera s’envoler la livre sterling en raison des perspectives de réduction des taux d’intérêt aux États-Unis.