Les ventes de maisons de luxe à Dubaï dépassent 1,6 milliard de dollars au troisième trimestre

Selon un célèbre consultant immobilier, les ventes de maisons de luxe (d’une valeur supérieure à 10 millions de dollars) à Dubaï sont restées soutenues au cours du troisième trimestre 2023. Dans l’ensemble, des ventes d’une valeur d’environ 1,6 milliard de dollars ont été conclues à Dubaï, ce qui en fait un lieu privilégié de l’immobilier dans le monde.

Si l’on considère le volume des ventes au cours de la période allant de janvier à septembre, il s’élevait à environ 5 milliards de dollars. Knight Frank, une société immobilière réputée aux Émirats arabes unis, a révélé ces données.

Dubaï reste concentré sur l’amélioration de l’investissement immobilier

L’objectif principal de Dubaï est de devenir un pôle d’attraction pour les capitaux et les personnes, en essayant d’atteindre une croissance durable à long terme. Le nouveau modèle économique de Dubaï est axé sur l’afflux de capitaux étrangers, le tourisme et l’investissement immobilier.

Il ne fait aucun doute que le secteur de l’immobilier à Dubaï est en plein essor et affiche une forte croissance. Cette évolution est principalement due à la demande des investisseurs russes et à la facilité des règles de résidence à Dubaï.

En outre, Dubaï a pris de nombreuses mesures pour s’assurer qu’elle ne sera pas confrontée aux mêmes problèmes économiques que lors de la crise de 2008.

Dans l’ensemble, la demande de logements luxueux et haut de gamme est élevée à Dubaï, alors que l’offre reste limitée. Cette dynamique de marché signifie que les prix des maisons de luxe ne peuvent qu’augmenter.

Toute maison valant plus de 10 millions USD est considérée comme une maison de luxe, et il semble qu’environ 227 maisons de ce type aient été vendues au cours du troisième trimestre 2023. Cela conforte le statut de Dubaï en tant que premier marché de l’immobilier de luxe, loin devant Londres, New York et Hong Kong.

Un autre détail important est que la majeure partie de cette activité a été réalisée par les acheteurs qui ont agi en « cash ». Il serait prématuré de tirer des conclusions, mais Dubaï pourrait s’attirer les foudres du GAFI si elle continue à appliquer ses règles laxistes en matière d’immobilier. Après tout, les transactions en espèces dominent les marchés, ce qui peut facilement attirer les ennuis.